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JSM TIARET
La situation prête à confusion :
La situation prête à confusion :
Neuf journées se sont déjà écoulées depuis la compétition nationale de football pour les sociétaires de la super D2, et la JSM Tiaret n’arrive toujours pas à retrouver ses repères. Il va sans dire que compte tenu des résultats guère reluisants jusque-là concédés, le club phare de la capitale des Hauts-Plateaux de l’Ouest ne cesse de prendre de l’eau de partout au point où la suite de son parcours semble teintée d’une confusion certaine. Et pour cause, le mutisme de certains responsables locaux et le laxisme de certains autres.
En effet, le commun des mortels à Tiaret ne peut que se rappeler des promesses avancées à la fin de la saison écoulée, terminée en apothéose sous la houlette du technicien Ahmed Benamar par ces mêmes responsables qui se voyaient déjà sur les nuages. Le paradoxe a voulu que tout cela ne relèverait que d’une pure utopie puisque la réalité a fini par rattraper ces rêveurs et, la preuve en est que Ezzzerga traîne toujours la patte dans les sombres profondeurs du tableau en se positionnant à la 14e place avec seulement 10 points sur les 27 possibles.
En deux phrases, il s’agit d’un mini-constat que l’on aurait confirmé au détour d’une simple conversation avec le plus ordinaire des inconditionnels de ce club, victime d’une nuée de contradictions désolantes.
Ainsi, les nombreuses interrogations seraient moins décentes si, jusque-là, le parcours des camarades de Kermouzi n’était chargé de sordides affaires de bricolage, de “bagarres” comité-bailleurs de fonds, de fausses démarches, de mauvaises tractations et d’interminables intentions d’accuser “flen ou felten” ou de s’empresser de libérer tel entraîneur pour le remplacer à la hâte par tel autre…
Trop d’intérêts contradictoires entrent, cependant, en jeu pour que les choses puissent aujourd’hui se dérouler sans bruit ni fureur. Une impression somme toute de se retrouver sur un ring où les “coups bas” pleuvent sous l’œil indulgent de l’arbitre. En épilogue, et comme il fallait s’y attendre, la dernière déroute de la JSMT at home face à l’AS Khroub, qui l’avait assommée par 2 buts à 1, avait provoqué d’énormes et fâcheux chamboulements au sein de la galerie qui s’est exprimée par la grogne en envahissant le terrain.
D’ailleurs, ces derniers n’en restèrent pas là puisque même dans la soirée de ce “triste vendredi”, des centaines de fans se sont rassemblés pour crier encore plus fort leur colère et, par ricochet, dénoncer la situation désastreuse qu’endure leur club qui mérite mieux.
À propos justement de cette rencontre contre l’AS Khroub, nombreux furent ceux qui montrèrent du doigt certains joueurs accusés de n’avoir pas mouillé le maillot.
Pour ce faire, ils n’ont pas manqué d’interpeller le président par une série de revendications pour le moins légitimes, à savoir la prise de sanctions à l’encontre des joueurs tricheurs, le recrutement immédiat d’un entraîneur de renom, le renforcement du comité directeur et la régularisation des athlètes avant leur prochain déplacement à Mascara. S’agissant de la 10e journée qui opposera la JSMT à son homologue du GCM, elle s’annonce périlleuse à plus d’un titre pour Kermouzi and Co dans la mesure où la composante sera amputée des services de Djillali Yahia qui vient d’être frappé d’une suspension de six mois assortie d’une amende de 50 000 DA.
En effet, le commun des mortels à Tiaret ne peut que se rappeler des promesses avancées à la fin de la saison écoulée, terminée en apothéose sous la houlette du technicien Ahmed Benamar par ces mêmes responsables qui se voyaient déjà sur les nuages. Le paradoxe a voulu que tout cela ne relèverait que d’une pure utopie puisque la réalité a fini par rattraper ces rêveurs et, la preuve en est que Ezzzerga traîne toujours la patte dans les sombres profondeurs du tableau en se positionnant à la 14e place avec seulement 10 points sur les 27 possibles.
En deux phrases, il s’agit d’un mini-constat que l’on aurait confirmé au détour d’une simple conversation avec le plus ordinaire des inconditionnels de ce club, victime d’une nuée de contradictions désolantes.
Ainsi, les nombreuses interrogations seraient moins décentes si, jusque-là, le parcours des camarades de Kermouzi n’était chargé de sordides affaires de bricolage, de “bagarres” comité-bailleurs de fonds, de fausses démarches, de mauvaises tractations et d’interminables intentions d’accuser “flen ou felten” ou de s’empresser de libérer tel entraîneur pour le remplacer à la hâte par tel autre…
Trop d’intérêts contradictoires entrent, cependant, en jeu pour que les choses puissent aujourd’hui se dérouler sans bruit ni fureur. Une impression somme toute de se retrouver sur un ring où les “coups bas” pleuvent sous l’œil indulgent de l’arbitre. En épilogue, et comme il fallait s’y attendre, la dernière déroute de la JSMT at home face à l’AS Khroub, qui l’avait assommée par 2 buts à 1, avait provoqué d’énormes et fâcheux chamboulements au sein de la galerie qui s’est exprimée par la grogne en envahissant le terrain.
D’ailleurs, ces derniers n’en restèrent pas là puisque même dans la soirée de ce “triste vendredi”, des centaines de fans se sont rassemblés pour crier encore plus fort leur colère et, par ricochet, dénoncer la situation désastreuse qu’endure leur club qui mérite mieux.
À propos justement de cette rencontre contre l’AS Khroub, nombreux furent ceux qui montrèrent du doigt certains joueurs accusés de n’avoir pas mouillé le maillot.
Pour ce faire, ils n’ont pas manqué d’interpeller le président par une série de revendications pour le moins légitimes, à savoir la prise de sanctions à l’encontre des joueurs tricheurs, le recrutement immédiat d’un entraîneur de renom, le renforcement du comité directeur et la régularisation des athlètes avant leur prochain déplacement à Mascara. S’agissant de la 10e journée qui opposera la JSMT à son homologue du GCM, elle s’annonce périlleuse à plus d’un titre pour Kermouzi and Co dans la mesure où la composante sera amputée des services de Djillali Yahia qui vient d’être frappé d’une suspension de six mois assortie d’une amende de 50 000 DA.